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Jordi Teixidor
Espagne, 1941

Considéré comme l’un des principaux représentants de l’abstraction espagnole, Jordi Teixidor s’identifie à la pensée critique et à la tradition moderne, transposant à sa peinture l’esprit du doute et de la critique. Il approfondit ainsi une abstraction et une peinture rationnelle, apollinienne, équilibrée et fortement contenue dans ses éléments expressifs.

La modernité de Jordi Teixidor est réflexive : son œuvre ne cherche pas la satisfaction, mais incite à la réflexion et rejette toute lecture narrative.

Plus qu’un tour de force sur les possibilités de l’abstraction dans le contexte actuel du développement des arts plastiques dans la société post-industrielle, son travail doit être compris comme une réflexion esthétique et intellectuelle sur les limites de la peinture. Il s’agit d’une quête vers la non-peinture, d’un désir irréalisable de créer le tableau définitif – ou, en d’autres termes, le non-tableau – mais aussi de l’expression personnelle d’un sentiment d’échec éthique et politique.

Par son usage du noir, Teixidor a formalisé une série d’images d’une grande intensité, constituant l’une des expressions les plus tragiques de la peinture espagnole contemporaine.

Il a participé à la Biennale de Venise et a exposé dans des institutions telles que le Guggenheim Museum de New York, l’Académie espagnole à Rome, le Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, le UNAM Museo de Arte Contemporáneo de Mexico et l’IVAM, entre autres.

Son œuvre fait partie des collections du Guggenheim de New York, du Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, de l’Institut Valencien d’Art Moderne, de la Fondation Juan March, de la Collection Banque d’Espagne, de la Collection Stuveysan, du Museo Patio Herreriano, du Centro Atlántico de Arte Moderno, du SFMoMA, de la Fondation La Caixa et du Musée de Berkeley.

 

 

 

 

Jordi Teixidor
La edad de las palabras 1617
2023
Huile sur toile
180 x 94 cm

30500 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor. La edad de las cosas. 2023

Après Final de Partida, la dernière grande exposition de Jordi Teixidor à l’IVAM, il restait sur l’échiquier les pièces qui témoignaient d’une fin inévitable, ce qui, comme tant d’autres fois, nous amenait à penser que le processus créatif n’est pas automatique et qu’il débouche sur des situations différentes de celles envisagées au départ. La partie jouée a peut-être été, avec sa série de peintures noires, la plus radicale de sa longue carrière. Le succès ne résidait pas dans le fait d’atteindre la fin, mais dans la reconnaissance de l’échec, de la défaite, à la limite de laquelle il est possible d’espérer une continuité.

Une fois de plus, ses peintures ne contiennent aucune trace de représentation, celle-ci étant contenue dans la spécificité de leur forme. Le thème non plus n’apparaît pas, ce thème qui, selon W.H. Auden, n’est rien d’autre que le cintre sur lequel le poème sera suspendu.

Face à la rigueur et à la sévérité de l’œuvre des dernières années, une nouveauté apparaît dans les peintures que Teixidor nous présente aujourd’hui : une certaine ironie qui, d’un côté, nous éloigne de l’objet et, de l’autre, nous rapproche de sa négativité, ce qui permet une totale liberté de saisie et d’appréciation.

Trois peintures principales structurent l’œuvre de Teixidor dans cette exposition. Leurs titres : L’âge des noms, L’âge des mots et L’âge des choses font référence à l’œuvre À la recherche du temps perdu, que Proust, selon le grand critique américain Edmund Wilson (E. Wilson, Œuvres choisies, Lumen, Barcelone 2022), avait un temps envisagé de diviser en trois parties portant ces mêmes titres.

On remarque également dans l’exposition une œuvre composée d’un ensemble de quatre peintures étroites, chacune de couleurs et de formes géométriques différentes. On pourrait la considérer comme une pièce musicale complète, empreinte d’ironie – quatre bagatelles peut-être. Cependant, la peinture au fond vermillon sur laquelle apparaît une structure géométrique aux couleurs chaudes centrée dans la partie supérieure, pourrait appeler une détermination plus grande, non loin d’une certaine analogie avec la peinture de Rothko.

Deux autres œuvres, de géométrie rigide, l’une en noir et l’autre où le noir s’efface, nous renvoient au concept de négativité. La négativité est inhérente à l’art. L’inexprimable et aussi le silence font partie de son langage. Car le but ultime n’est pas de nier, mais de réaffirmer le côté indicible des choses.

 

Jordi Teixidor
La edad de las cosas 1618
2023
Huile sur toile
180 x 94 cm

30.500 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Bodegón vacío 1607
2023
Huile sur toile
41,7 x 45 cm

8.500 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1623
2023
Huile sur toile
100 x 100 cm

19.500 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
La edad de los nombres 1616
2023
Huile sur toile
180 x 94 cm

30.500 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1612
2023
Huile sur toile
Polyptyque. 180 x 47 cm chaque pièce

39000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Canova/Viena
2023
Huile sur toile
160 x 160 cm

32.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1625
2023
Huile sur toile
160 x 160 cm

32.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Canova / Venecia
2023
Huile sur toile
160 x 160 cm

32.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 339
1978
Huile sur toile
171 x 105 x 3 cm

30.000 € (TVA incluse)

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2024

Jordi Teixidor. Drawing as Painting
Exposition à la Fondation Juan March

 

 

 

Jordi Teixidor
Sans titre (I)
1978
Encre sur papier
35 x 24 cm

5.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre (II)
1978
Encre sur papier
35 x 24 cm

5.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre (III)
1978
Encre sur papier
35 x 24 cm

5.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre (IV)
1978
Encre sur papier
35 x 24 cm

5.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre (V)
1978
Encre sur papier
35 x 24 cm

5.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
El naufragio
1978
Crayon gras, cire et huile sur papier
40,5 x 30,5 cm

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Jordi Teixidor
Sans titre
1978
Crayons gras sur papier
41 x 29,5 cm

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Jordi Teixidor
Paisaje nórdico 1593
2021
Huile sur toile et bois
79 x 49 cm

12.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Gante
2021
Huile sur toile et bois
49 x 42,5 cm

9.800 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1600
2021
Huile et alpaga sur bois et toile
30.5 x 30. cm

8.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1577
2020
Huile sur bois et toile
45 x 40 cm

8.000 € (TVA non incluse)

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Los límites del vacío [Les limites du vide]

L’idée du vide comme un champ informe qui est à la fois la source de toute création et inséparablement liée à toutes les formes de création est difficile à appréhender. C’est une question qui a émergé depuis des temps immémoriaux et qui a été analysée aussi bien par les civilisations orientales qu’occidentales.

Conceptuellement, le vide est défini comme un « manque de contenu » ou comme une « inexistence, nullité », tandis que spatialement, il acquiert un sens différent de ses définitions dans le dictionnaire. Le vide créé au sein d’une forme basée sur l’espace génère un « lieu ». Ou, sous un autre angle, le vide engendre la forme, et cette forme générée par le vide crée un espace.

Les phénomènes conceptuels que le vide engage vont bien au-delà des classifications formelles. Ainsi, les notions de « vide, espace et forme » intègrent des concepts tels qu’existence – non-existence, intérieur – extérieur, lieu – non-lieu, contradictions – conflits. Depuis des siècles, les philosophes y ont réfléchi, et les artistes se sont efforcés de créer du vide dans l’espace, en s’appuyant sur des facteurs physiques, environnementaux, conceptuels et sémantiques, entre autres.

Au XXᵉ siècle, les artistes visuels ont abordé le vide à la fois comme un exercice intellectuel et comme une entité spatiale à part entière. Une légion de grandes figures comme Kazimir Malévitch, Alexander Calder, Yves Klein, Lucio Fontana, Eduardo Chillida ou Barnett Newman, entre autres, s’est consacrée à sa révision et à son approfondissement.

Depuis des décennies, le peintre espagnol Jordi Teixidor et le sculpteur colombien John Castles poursuivent cette exploration, chacun depuis un pays différent et en utilisant des médiums et des approches distinctes. Cependant, tous deux partagent une réflexion profonde et enrichissante sur les éléments du vide et, à travers leurs œuvres, explorent les champs étendus, la monumentalité du volume et l’expansion des espaces.

L’exposition «John Castles et Jordi Teixidor : les limites du vide» constitue ainsi une proposition suggestive, à la fois anthologique et thématique, qui met en relation deux corpus d’œuvres distincts. En coïncidant dans les espaces d’exposition de NF/NIEVES FERNÁNDEZ et NUEVEOCHENTA, suivant des coordonnées conceptuelles communes, cette rencontre se révèle particulièrement éloquente. Elle démontre que deux artistes – malgré la distance et leur absence de contact jusqu’à il y a quelques mois – convergent dans l’exploration de l’idée de limite comme fondement pour concevoir, approcher et travailler le vide.

Jordi Teixidor est né à Valence en 1941. Il étudie les Beaux-Arts et se consacre à l’exploration de l’uniformité chromatique et de la peinture abstraite dès le début de sa carrière dans les années soixante. Ses œuvres adoptent une esthétique réductionniste et une palette chromatique limitée (avec une nette prédilection pour le noir ces dernières années). L’artiste évite le spectaculaire et l’émotion, cherchant plutôt à plonger le spectateur dans une contemplation méditative où il questionne et étend les limites de sa perception.

John Castles est né à Barranquilla, en Colombie, en 1946. Il étudie l’architecture mais abandonne cette voie pour se consacrer entièrement à la sculpture. Dès le début, il s’engage dans l’abstraction, utilisant toujours des matériaux de construction, avec une préférence marquée pour le fer. Ses œuvres visent à déplier la forme et la matière : d’abord à travers des pièces plus géométriques et rigides, qui évoluent au fil des années vers des formes plus flexibles et ondulantes. Castles défie en permanence le champ gravitationnel, explore la présence du vide et cherche à transformer l’espace intérieur de chaque œuvre ainsi que son environnement immédiat.

Dans l’œuvre de John Castles et Jordi Teixidor, on peut identifier des coïncidences et des points de contact : tous deux tendent vers une exécution épurée, une réduction des formes, et poussent à l’extrême les éléments les plus simples. Ils cherchent à ordonner les proportions, manifestent une préoccupation pour l’équilibre et montrent un intérêt marqué pour l’architecture – perceptible dans leur interrogation de la réalité physique et dans leur insistance sur les effets spatiaux. Les œuvres exposées de Teixidor et Castles coïncident dans l’exploration des volumes, l’examen de la présence et, surtout, la recherche d’une autre réalité. Teixidor et Castles prouvent qu’ils ont su défier les «limites» du vide en révélant la capacité de l’œuvre plastique à engendrer des espaces et à créer des lieux.

 

 

Jordi Teixidor
Sans titre 1540
2017
Huile sur toile et bois
69 x 55 cm

12.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Vence
2017
Huile sur toile et bois
197 x 99 cm

32.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1505
2015
Huile sur toile et bois
62 x 68 cm

13.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1510
2015
Huile sur bois
45 x 45,5 cm

7.000 € (TVA non incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1510
2015
Huile sur bois
45 x 45,5 cm

7.000 € (TVA non incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1471
2014
Huile sur toile
97 x 82 cm

17.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre. 1466
2013
Huile sur toile et bois
102 x 62 cm

17.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1460
2013
Acrylique sur bois
73 x 35 cm

10.400 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
1432
2012
Huile sur bois et toile
102 x 76 cm

17.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1431
2012
Huile sur bois et toile
50 x 50 cm

11.000 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Evora 1439
2012
Huile sur bois et toile
58 x 48 cm

10.900€ (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Homenaje a Rietveld 1446
2012
Acrylique sur bois
42 x 42 cm

10.300 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1464
2013
Acrylique sur bois
68 x 28 cm

9.400 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1431
2012
Huile sur bois et toile
50 x 50 cm

11.000 € (TVA incluse)

Demande

 

 

Jordi Teixidor
Sans titre 1334
2007
Huile sur toile
100 x 100 cm

19.500 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Relieve I 1271
2006
Huile sur bois
30 x 25 x 5 cm

6.500 € (TVA non incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1198
2004
Huile sur bois
40 x 40 cm

7.500 € (TVA non incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 1202
2004
Huile sur toile
40 x 40 cm

7.500 € (TVA non incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre 
2003
Huile sur papier
40 x 40 cm

5.200 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor
Sans titre
2003
Huile sur papier
40 x 40 cm

5.200 € (TVA incluse)

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Jordi Teixidor

Expositions Individuelles

2024
Le rôle de la peinture. Musée d’Art Abstrait Espagnol, Cuenca

2023
The Age of Things. NF/NIEVES FERNÁNDEZ, Madrid

2022
Fin de partie. Institut Valencià d’Art Modern (IVAM), Valence

2020
Les limites de la peinture. Centro José Guerrero, Grenade

2019
Les limites du vide. Commissaire : Isabela Villanueva. NF/NIEVES FERNÁNDEZ, Madrid et Galería nueveochenta, Bogotá

2016
Décennie 2005 – 2015. Galería Paz y Comedias, Valence
Fundación Chirivella Soriano, Valence
Heures tardives. RocioSantaCruz Art, Barcelone

2015
Galería Adora Calvo, Salamanque

2014
Galería Altxerri, Saint-Sébastien
Peinture. NF/NIEVES FERNÁNDEZ, Madrid
Géométrie naturelle. Vuela Pluma Ediciones, Madrid

2012
Traversée. Palais Almudí, Murcie
Galería La Aurora, Murcie

2011
Rites de passage et La Croix de Santa Fe. Instituto de América, Santa Fe, Grenade
Supports, surfaces et reliefs. Galería Charpa, Valence
Chefs-d’œuvre de la collection de peinture de l’IVAM. IVAM, Valence

2010
Œuvres récentes. NF/NIEVES FERNÁNDEZ, Madrid
L’atelier rouge. Galería La Caja Negra, Madrid

2007
Dernières peintures. Galería Antonio Machón, Madrid


Expositions Collectives (sélection)

2022
Devenir peinture. Centro Andaluz de Arte Contemporáneo (CAAC), Séville

2019
Cuenca : Ville de l’abstraction espagnole. McMullen Museum of Art, Boston
Antes del arte : Cinquante ans après. Musée d’Art Contemporain d’Alicante (MACA), Alicante
Contemplations : Ana H. del Amo, Guillermo Mora, Nico Munuera, Mar Vicente. Commissaire : Rosa Ulpiano. SET Espai D’Art, Valence

2017
Art au Palais : 30 ans d’expositions à la Casa del Cordón, Burgos

2016
Musée d’Art Abstrait Espagnol. Fernando Zóbel 50e anniversaire, Cuenca
Galería Juana de Aizpuru, Madrid
La peinture, le voyage, la contemplation. Fundación Chirivella-Soriano, Valence

2015
Collectifs artistiques à Valence sous le franquisme. IVAM, Valence

2014
Sur la couleur. Ámbito Cultural – Calle Preciados, Madrid
Le travail du visible. Galería Odalys, Madrid
Collection IVAM : 25e anniversaire, Valence
Eau douce. Musée Auga Doce, Centro Gaiás, Saint-Jacques-de-Compostelle

2012
Malas Artes. NF/NIEVES FERNÁNDEZ, Madrid
Jonction et couleur. Fundación Chirivella-Soriano, Valence

2011
Fictions et réalités. Musée d’Art Moderne, Moscou
De la révolte à la postmodernité. Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
Chefs-d’œuvre de la collection de l’IVAM. IVAM, Valence

2010
Art espagnol dans la collection de l’IVAM, Valence
Shanghai Urban Planning Center, Shanghai
Signes et Écritures. Fundació Suñol, Barcelone

2009
Nostalgie du futur. Hommage à Renau. Centro del Carmen, Valence
Dérives de la géométrie. Fundación Jorge Oteiza – Musée Alzuza, Navarre
Art et architecture. Centro Cultural Bancaja, Valence
Géométries. Sala Martínez Guerricabeitia, Université de Valence
La ligne rouge. IVAM, Valence

2008
Hommage et mémoire. Œuvres du Museo de la Solidaridad. Palais de la Moneda, Santiago du Chili
L’abstraction dans la collection de l’IVAM. IVAM, Valence

2007
Royaume et ville : Valence dans son histoire. Museo del Carmen, Valence
Ligne et plan. Galería Antonio Machón, Madrid
Transfiguration. Sala Alcalá 31, Communauté de Madrid
En jaune. Fundación Rodríguez-Acosta, Grenade


Collections et Musées (sélection)

  • The Solomon R. Guggenheim Museum, New York
  • Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid
  • San Francisco Museum of Modern Art, San Francisco
  • Institut Valencià d’Art Modern (IVAM), Valence
  • University Art Museum, Berkeley
  • Collection Cisneros Fontanals, Miami
  • Museo Patio Herreriano, Valladolid
  • Musée d’Art Abstrait Espagnol, Cuenca
  • Centro Atlántico de Arte Moderno, Las Palmas de Gran Canaria
  • Fundación Juan March, Madrid et Palma
  • Fundació La Caixa, Barcelone
  • Collection Fundació Caixa de Pensions, Barcelone
  • Centro Andaluz de Arte Contemporáneo, Séville
  • Museo Diputación Foral de Álava
  • Mairie de Valence
  • Députation de Valence
  • Palais Marqués de Campo, Valence
  • Museo de Villafamés, Castellón
  • Banque d’Espagne, Madrid
  • Chase Manhattan Bank, New York
  • Collection Peter Stuyvesant, Amsterdam
  • Collection Argentaria, Madrid
  • Caja Madrid
  • Collection Congrès des Députés, Madrid
  • Collection Députation de Grenade
  • Collection d’Art Contemporain d’AENA, Madrid
  • Fundación Bancaixa, Valence
  • Fundesco, Madrid
  • Cortes Valenciennes
  • Coca Cola Foundation, Madrid
  • Museo Municipal, Madrid
  • Musée de l’Académie Royale des Beaux-Arts de San Fernando, Madrid
  • CAB – Centro de Arte Caja de Burgos
  • Collection Ministère des Affaires Étrangères d’Espagne, Madrid
  • Collection Repsol, Madrid
  • Collection Fontanal Cisneros, Miami
  • Collection Kells, Santander
  • Collection Eduardo Salazar et Juliana Hernández, Bogotá